C’est Vendredi, tu la vois la lumière de l’autre coté du tunnel ? Alors, on se détend (un peu) avec cet article de WhatCulture.com qui reprend 5 possibilités de formes de vie extraterrestres. Bon, le plus réaliste pour moi ? Le n° 3, bien sur…
“Nous avons pris cette forme parce que nous avons pensé que ce serait plus simple pour un premier contact”
Lien vers l’article :
https://whatculture.com/film/5-surprisingly-realistic-depictions-of-aliens-in-movies
Proposition de traduction :
L’humanité a imaginé à quoi la vie dans l’espace pourrait ressembler à peu près depuis que nous avons découvert qu’il y avait une telle chose, eh bien, l’espace. Bien sûr, nous ne saurons réellement quelles (le cas échéant) de nos innombrables tentatives étaient correctes jusqu’à ce que nous établissions finalement le contact.
Même ainsi, il est très probable que les étrangers soient mignons (comme dans ET), ou monstrueux (comme dans Alien), ou capables de références à la culture pop (comme dans Paul). Au lieu de cela, compte tenu de la taille et de la portée insondables de l’univers, il est beaucoup plus probable que les extraterrestres ne ressemblent à personne.
Du moins, pas avant ces cinéastes.
5. L’océan – Solaris

L’Océan, tel qu’il apparaît dans le film d’Andrei Tarkovsky de 1972, est le nom donné au seul habitant de la mystérieuse planète Solaris.
Masse géante de plasma couvrant un monde entier, l’Océan n’est pas tant une entité qu’un écosystème. S’il possède également une conscience, cependant, personne ne peut le dire.
Lorsque toutes les tentatives de communication avec elle échouent, un groupe de scientifiques à bord d’une station spatiale en orbite autour de la planète décide de la bombarder avec des faisceaux de rayonnement afin d’obtenir une réponse.
Et une réponse qu’ils obtiennent. Non seulement The Ocean détourne furtivement leur subconscient, mais il utilise également les souvenirs qui y sont enfouis pour matérialiser leur pire regret et leur plus grande honte qui, dans le cas du protagoniste Kris Kelvin, prennent la forme de sa défunte épouse, Hari, qu’il avait autrefois conduit se suicider.
4. The Shimmer – Annihilation

L’écrivain-réalisateur Alex Garland nous a déjà offert une interprétation convaincante de l’intelligence artificielle avec son premier film, Ex Machina. Pour son deuxième long métrage, Annihilation, il a continué à nous donner ses deux cents sur la vie extraterrestre.
Comme The Ocean de Solaris, The Shimmer n’est pas vraiment un animal, mais plutôt un environnement vivant et respirant, qui a émergé peu de temps après qu’un astéroïde a frappé la terre.
Le Shimmer a la capacité de déformer le temps, d’effacer les pensées et de modifier l’ADN de ses “ visiteurs ” afin de ne faire qu’un avec eux, comme il le fait avec le protagoniste Lena, joué par Natalie Portman.
La copie et l’amélioration de l’ADN d’autres organismes semblent cependant être la seule chose qui l’intéresse, car The Shimmer se détruit efficacement lorsqu’il intériorise les pensées et les tendances suicidaires de Lena.
3. Le père d’Ellie – Contact

Lorsque les chercheurs captent un signal radio provenant de l’espace lointain, cela s’avère être une instruction élaborée sur la façon de construire un véhicule capable de vols spatiaux intergalactiques.
L’astronaute choisie pour se lancer dans ce voyage historique, une jeune astrophile nommée Ellie, est transportée de l’autre côté de l’univers où elle est accueillie par… son père?
Enfin, pas exactement. Vous voyez, le père d’Ellie est mort quand elle était petite, et la personne qui l’accueille comme le premier humain à “ entrer en contact ” est en fait une extraterrestre qui a assumé la ressemblance de son père afin de la rendre, proclame-t-elle, plus confortable.
Alors que certains considéraient que cela révélait une énorme déception, d’autres l’ont louée comme une représentation véritablement surprenante et originale de la vie extraterrestre. Quoi que vous vouliez l’appeler, il est indéniable que la scène est tout sauf emblématique.
2. Les Draags – Fantastic Planet)

Comparés à ces géants bleus du film d’animation de 1973 de René Laloux, les Na’vi de l’avatar bien-aimé Na’vi de James Cameron sont aussi humains que les habitants de votre quartier de banlieue typique.
Espèce extraterrestre technologiquement avancée et intellectuellement curieuse, les Draags sont à l’origine tombés sur des êtres humains lors de leurs voyages dans l’espace lorsque, en raison de différences culturelles radicales et d’une barrière linguistique insurmontable, ils ont décidé de les traiter comme des animaux de compagnie plutôt que comme d’autres formes de vie sensibles.
D’une part, les Draags nous ressemblent à bien des égards. Ils vivent dans une société raffinée avec des gouvernements, des écoles et des parcs de loisirs, s’organisent en familles composées de mères, de pères et d’enfants et entretiennent des relations sociales similaires à la nôtre.
De l’autre, quand ils s’endorment, leurs jambes se recroquevillent comme une coquille d’escargot et leurs yeux changent de couleur plutôt que de se fermer. Ils peuvent modifier leur anatomie par la méditation, et lorsqu’ils deviennent intimes les uns avec les autres, leurs esprits flottent jusqu’à une étoile éloignée pour s’engager dans un rituel de danse élaboré.
1. Les heptapodes – arrivée

Ce qui distingue les heptapodes des autres entrées de cette liste, c’est leur alien-ness totale, et ce n’est pas une blague.
Regardez, alors que l’océan et le miroitement peuvent être des entités sans visage et sans forme, ils ont la capacité de fusionner avec notre esprit et notre corps.
Et où le père d’Ellie et les Draags, de la même manière, peuvent opérer sur différentes plaines d’existence, ils sont toujours des reflets de nous.
Mais les extraterrestres de la boîte de puzzle de science-fiction de Denis Villeneuve 2016 ne sont ni une partie de nous ni une extension de nous-mêmes.
En tant qu’êtres de dimensions supérieures, les heptapodes sont capables de percevoir le temps dans sa totalité, plutôt que d’instant en instant comme nous le faisons, et ce petit détail affecte non seulement la façon dont ils communiquent, mais la façon dont ils pensent.
En fait, les Heptapodes sont si différents de nous qu’il a fallu un film entier juste pour comprendre ce qu’ils sont, et pour cette seule raison, ils occupent la première place.